NOS AXES DE TRAVAIL

émerveillement, expérience, espoir

ce qui guide nos pas

les 3 e.

« L’émerveillement est un moment où le raisonnement se suspend. Il y a alors l’impression de quelque chose qui dépasse l’individualité, il appelle une émotion enfouie profondément en nous : une sorte d’adéquation avec l’environnement.

S’émerveiller, dans le cas de la nature, engendre le respect pour celle-ci. Dans le cas de l’environnement, le respect se traduit par le souci d’en prendre soin.

Alors que nous vivons une époque avec beaucoup de messages décourageants, l’émerveillement donne de l’espoir »*

Ces textes, tirés d’un entretien de Matthieu Ricard par le Good Planet mag’ en septembre 2019, guide notre travail.

 

Notre travail s’oriente ainsi en 3 axes:

  • l’émerveillement
  • l’expérience
  • l’espoir

 

Nous sommes convaincus qu‘un changement profond et durable de nos comportements passe par l’émerveillement, l’expérimentation et l’espoir. S’émerveiller pour se rapprocher de la nature, se reconnecter au vivant. Expérimenter dans son corps et par ses sensations pour se redécouvrir soi-même et se faire du bien… prendre le risque d’être touché, d’espérer et de tomber en amour. Et c’est tant mieux car quand on aime… on protège!

 

louis espinassous

allons jouer dehors.

« Comme aurait pu l’exprimer l’anthropologue David Le Breton, je ressens toute l’intensité d’être dans le seul émerveillement d’être là… Poésie, beauté, philosophie font alors partie de mes ressentis. Je les cultive seul ou dans une perspective de partage social et humain, avec une autre personne ou un groupe de personnes. L’essentiel est de vivre, de partager, de partir camper et de dormir à la belle étoile, de construire des choses. En amont, lire est indispensable pour connaître la biodiversité, apprendre à fabriquer ce dont on a besoin, etc. (…)

(tiré d’un article dans Reporterre, le quotidien de l’écologie)

Le principe fondamental consiste à aller dehors, non pas pour faire de l’activité physique, sauf pour les personnes qui le souhaitent comme tel (mais cela ne me semble pas très fréquent), mais pour vivre quelque chose, faire quelque chose. Sortir le chien, faire une randonnée, aller à l’étang ou au sommet de la colline pour découvrir la vallée ou le village d’en haut, partir ramasser des mures, faire un pique-nique, que sais-je encore ! Quant aux enfants, et même aux adultes, il faut les laisser faire dehors, leur laisser le jeu libre dehors.

(tiré d’un article sur le besoin de nature, selon Louis Espinassous)